Le coton camerounais : une filière en plein essor

L’agriculture demeure un pilier essentiel de l’économie camerounaise, et parmi les cultures phares, le coton occupe une place stratégique. Longtemps confrontée à des défis tels que la fluctuation des prix ou les conditions climatiques difficiles, la filière cotonnière camerounaise semble aujourd’hui prête à rebondir.

Selon le journal Investir au Cameroun, la production nationale de coton devrait atteindre 350 100 tonnes en 2025, une embellie notable qui reflète les efforts d’innovation et d’investissement dans le secteur.

Un regard sur l’histoire du coton au Cameroun

Le coton est cultivé au Cameroun depuis les années 1950, mais la filière a pris un véritable essor avec la création de la Société de développement du coton (Sodecoton) en 1974. Cette entreprise publique a contribué à structurer la production, améliorer les techniques culturales et garantir des débouchés pour les agriculteurs locaux.

Dans les années 2000, malgré des périodes de baisse liées aux chocs économiques et aux aléas climatiques, le secteur a bénéficié de réformes pour améliorer la rentabilité et l’attractivité de la culture cotonnière. En 2010, la production était d’environ 200 000 tonnes, et en 2025, elle devrait connaître une augmentation significative de 75 %, témoignant des progrès réalisés.

Les facteurs de la croissance annoncée

Plusieurs éléments expliquent cette évolution positive :

  • checkedModernisation des exploitations agricoles : Introduction de semences plus performantes et mécanisation accrue.
  • checkedSoutien de l’État et des investisseurs : Subventions et programmes de formation pour les agriculteurs.
  • checkedAugmentation des débouchés internationaux : Accès à de nouveaux marchés et hausse de la demande du coton africain.
  • checkedEngagement des producteurs : Dynamisme des coopératives et des agriculteurs dans la transformation locale du coton.

Avec une production projetée à 350 100 tonnes en 2025, le Cameroun montre qu’il est prêt à capitaliser sur cet élan pour renforcer son positionnement sur les marchés régionaux et internationaux.

L’avenir du coton camerounais s’annonce prometteur, et les efforts continus permettent de garantir une filière plus robuste et compétitive. Les producteurs ont toutes les raisons d’y croire.

Le coton est cultivé au Cameroun depuis les années 1950, mais la filière a pris un véritable essor avec la création de la Société de développement du coton (Sodecoton) en 1974. Cette entreprise publique a contribué à structurer la production, améliorer les techniques culturales et garantir des débouchés pour les agriculteurs locaux.

Dans les années 2000, malgré des périodes de baisse liées aux chocs économiques et aux aléas climatiques, le secteur a bénéficié de réformes pour améliorer la rentabilité et l’attractivité de la culture cotonnière. En 2010, la production était d’environ 200 000 tonnes, et en 2025, elle devrait connaître une augmentation significative de 75 %, témoignant des progrès réalisés.

Les facteurs de la croissance annoncée

Plusieurs éléments expliquent cette évolution positive :

✔️ Modernisation des exploitations agricoles : Introduction de semences plus performantes et mécanisation accrue.
✔️ Soutien de l’État et des investisseurs : Subventions et programmes de formation pour les agriculteurs.
✔️ Augmentation des débouchés internationaux : Accès à de nouveaux marchés et hausse de la demande du coton africain.
✔️ Engagement des producteurs : Dynamisme des coopératives et des agriculteurs dans la transformation locale du coton.

Avec une production projetée à 350 100 tonnes en 2025, le Cameroun montre qu’il est prêt à capitaliser sur cet élan pour renforcer son positionnement sur les marchés régionaux et internationaux.

L’avenir du coton camerounais s’annonce prometteur, et les efforts continus permettent de garantir une filière plus robuste et compétitive. Les producteurs ont toutes les raisons d’y croire 


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